LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

NOUS SOMMES TOUS CONCERNÉS !

Chaque année, on estime que 220 000 femmes sont victimes de violences conjugales physiques, psychiques ou sexuelles. Parmi elles, seules 16% ont porté plainte.

En 2021 : 113 Femmes et 20 hommes ont été tués par leur conjoint ou ex conjoint.

Une femme meurt tous les 3 jours sous les coups de son mari ou ex compagnon en France !

Chaque année on estime que 94000 femmes âgées de 18 à 75 ans ont été victimes de viols ou tentatives de viols, 11% des victimes déclarent avoir déposé plainte.

Les VVF sont un problème majeur de notre société, une préoccupation de santé publique.

C’EST L’AFFAIRE DE TOUS !

Nous devons diminuer la tolérance collective et individuelle à la violence en nous tournant vers les victimes avec une attitude empathique active pour rompre le silence.

Nous devons tous participer à l’organisation de l’action publique pour qu’aucune violence déclarée ne reste sans réponse, nous devons protéger les victimes en assurant leur mise à l’abri et en fournissant un accompagnement spécifique.

La prise en charge doit être globale, médicosociale, juridique, judicaire sans laisser ces infractions tomber dans l’intimité.

C’EST AUSSI L’AFFAIRE DE L’OBSERVATOIRE :

Il faut sensibiliser la société pour que ces violences faites aux femmes ne soient plus ni une fatalité, ni un tabou et sorte de la sphère du privé, de l’intime.

Quelle que soit la forme de la violence, car celle-ci implique assez rapidement une EXCLUSION de la société, un BLOCAGE de la PAROLE :  le SILENCE.

Ce silence est toujours une aggravation du traumatisme, mais surtout le plus souvent un des obstacles majeurs de la résolution et de la résilience.

N’HÉSITEZ PAS À APPELER LE 3919 : 24H/24 ET 7 JOURS /7

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13048

NUMÉROS UTILES

Urgences Hôpital de la Ciotat : 04 42 08 76 01 

SOS femmes battues  04 42 83 13 62 

Solidarité femmes 13 : 04 98 18 54 17 

Commissariat de la Ciotat (avenue Victor GIRAUD) : 04 88 22 71 60

La violence n’est pas une fatalité, mettons y un terme !